En 1972, le restaurant "Au Crocodile" retrouve sa première étoile, grâce à un grand travail et à un indéniable professionnalisme du couple Monique et Emile Jung, qui ont repris cette affaire sur le déclin un an plus tôt. Encore trois années plus tard, ils obtiennent une deuxième étoile, puis en 1989, la troisième. Aujourd’hui, l’établissement affiche deux étoiles (il a perdu sa troisième en 2003), et propose une cuisine alsacienne authentique et gastronomique, mêlant tradition et modernité.
Une institution rhénane
Le restaurant tient son nom de l'animal empaillé ramené par le capitaine Aekennann, un militaire qui revenait d'Egypte où il avait participé à une chasse, lors d'une campagne napoléonienne. Dans sa cuisine-laboratoire, le chef fait preuve d'une très inventivité dans les associations de saveurs, et aime par dessus tout rendre hommage aux grands hommes de nootre histoire, en confectionnant des menus spéciaux, comme la brochette de sot-l'y-laisse au paprika "Michel Strogoff" et sa purée de Roseval à la betterave rouge, ou le pavé de lotte du Capitaine "Némo",
purée de haricots noirs à l’encre de seiche et son coulis de pimentos. Si vous n'avez pas la chance de goûter à l'un de ceux-ci, vous pourrez toujours tester l'excellent sandre et laitance de capres au Pinot Noir, purée de carottes et poireaux en sifflet, ou bien la noisette de faon de biche à l’écorce d’orange, quenelles au fromage blanc, ou encore le lièvre à la royale, späetzle à l’Alsacienne et marrons. Pour finir, le gratin croustillant de poire William's et glace au chocolat "Saint Domingue", ou bien la poêlée de mirabelles et son crumble à la pistache termineront le repas en beauté. Le tout sera accompagné pourquoi pas d’un Riesling ou d’un Pinot Gris 1999, de la réserve personnelle du patron... Une très grande table pour découvrir enfin la gastronomie alsacienne.
Une institution rhénane
Le restaurant tient son nom de l'animal empaillé ramené par le capitaine Aekennann, un militaire qui revenait d'Egypte où il avait participé à une chasse, lors d'une campagne napoléonienne. Dans sa cuisine-laboratoire, le chef fait preuve d'une très inventivité dans les associations de saveurs, et aime par dessus tout rendre hommage aux grands hommes de nootre histoire, en confectionnant des menus spéciaux, comme la brochette de sot-l'y-laisse au paprika "Michel Strogoff" et sa purée de Roseval à la betterave rouge, ou le pavé de lotte du Capitaine "Némo",
purée de haricots noirs à l’encre de seiche et son coulis de pimentos. Si vous n'avez pas la chance de goûter à l'un de ceux-ci, vous pourrez toujours tester l'excellent sandre et laitance de capres au Pinot Noir, purée de carottes et poireaux en sifflet, ou bien la noisette de faon de biche à l’écorce d’orange, quenelles au fromage blanc, ou encore le lièvre à la royale, späetzle à l’Alsacienne et marrons. Pour finir, le gratin croustillant de poire William's et glace au chocolat "Saint Domingue", ou bien la poêlée de mirabelles et son crumble à la pistache termineront le repas en beauté. Le tout sera accompagné pourquoi pas d’un Riesling ou d’un Pinot Gris 1999, de la réserve personnelle du patron... Une très grande table pour découvrir enfin la gastronomie alsacienne.